Le "vivo"

« Le vivo, ou flûte, était le plus harmonieux des instruments en usage…On ne jouait pas de cette flûte avec la bouche mais avec le nez. Le musicien plaçait généralement le pouce de la main droite sur sa narine droite, appliquait l’ouverture de la flûte, qu’il tenait avec les doigts de la main droite à l’autre narine et, déplaçant ses doigts sur les trous, produisait sa musique. Le son était doux et agréable…généralement joué sur un ton plaintif ».

Teuira Henry, Tahiti aux temps anciens, p 45

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